Un diagnostic précoce et inattendu
À 11 ans, Magali a été diagnostiquée pour la première fois d'un cancer de la peau, non pas par un dermatologue, mais par un neuropédiatre qui la suivait pour l’épilepsie. "J’avais une lésion suspecte sur l’avant-bras droit" se rappelle-t-elle. "Il m’a orientée vers un confrère qui a fait une exérèse de ce grain de beauté qui s'est avéré cancéreux."
Magali a ensuite été confrontée à plusieurs autres cancers de la peau, à 32 ans, puis à 42 ans, et plus récemment, l’année dernière. Elle évoque également les signes qui l’ont poussée à consulter, notamment une lésion persistante au coin de l'œil qui saignait et ne guérissait pas.
Les défis du diagnostic et des traitements
Les diagnostics de cancer de la peau reposent principalement sur l’œil expert du dermatologue et la biopsie. Cependant, Magali participe désormais à un protocole expérimental incluant un scanner Vectra 3D, une technologie de pointe utilisée pour suivre l'évolution des lésions. "Mon dernier cancer a été détecté par le Vectra 3D" précise-t-elle.
En plus des interventions chirurgicales, Magali a subi des traitements par chimiothér...
Et accédez gratuitement au reste de l’article, ainsi qu’à de nombreux autres contenus.
Et accédez gratuitement au reste de l’article, ainsi qu’à de nombreux autres contenus.
Renseignez votre adresse mail ci-dessous, nous vous enverrons un lien de réinitialisation.