Se faire diagnostiquer à 30 ans.
Aujourd'hui, je suis ravie d'accueillir Karen, une jeune trentenaire dont la vie a été marquée par le diagnostic tardif du trouble de déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH).
À l'âge de 34 ans, Karen a été diagnostiquée, presque par accident, alors qu'elle était en quête de solutions à des problèmes de santé. Ce diagnostic, bien qu'inattendu, a apporté une clarté sur les défis qu'elle rencontrait depuis des années : des difficultés de concentration et des problèmes de mémoire.
Ces signes, qui remontent à son enfance et se sont manifestés notamment dans le cadre scolaire, ont eu un impact significatif sur sa vie quotidienne. La fatigue et l'irritabilité étaient des compagnons constants, rendant parfois même la communication avec autrui ardue, et compliquant son parcours professionnel.
Cependant, le diagnostic a été un tournant pour Karen. Il lui a permis de mieux comprendre ses luttes et de mettre en place des stratégies pour faciliter son quotidien. De la cohérence cardiaque à la méditation, du yoga à l'écoute de podcasts et de musique, en passant par l'activité physique, elle a exploré...
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