Cancer de la prostate
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Qu'est-ce que le cancer de la prostate ?
Le cancer de la prostate est une tumeur maligne développée à partir de cellules de la prostate, glande de l’appareil génital masculin. Elle est située sous la vessie, en avant du rectum et sécrète une partie du liquide qui, avec les spermatozoïdes produits par les testicules, compose le sperme. Il s’agit du cancer le plus fréquent chez l'homme.
Quelques chiffres sur le cancer de la prostate :
- Il représente 26% des cancers masculins
- 66 % des personnes touchées sont âgées de 65 ans et plus
- C’est un cancer dit de bon, voire de très bon pronostic, avec un taux de survie à 5 ans de plus de 90 % à condition d’être pris en soin précocement en cas de forme agressive
Quels sont les symptômes du cancer de la prostate ?
Le cancer de la prostate n’occasionne pas de symptômes particuliers, notamment aux premiers stades de la maladie. Lorsqu’il évolue, il peut engendrer des troubles urinaires comme des besoins fréquents et/ou urgents d’uriner, des difficultés à uriner, la sensation de ne pas avoir complètement vidé sa vessie après avoir uriné, des brûlures ou une douleur en urinant.
A noter que ces symptômes peuvent être causés par d’autres maladies non cancéreuses de la prostate comme l’hypertrophie bénigne de la prostate (augmentation du volume de la prostate) ou une prostatite (inflammation de la prostate).
La maladie peut également engendrer des troubles sexuels. Si la tumeur continue de s’étendre, des douleurs au niveau des os du dos, du bassin ou des jambes peuvent survenir, accompagnées d’une fatigue et une perte de poids.
Comment diagnostique-t-on le cancer de la prostate ?
Le médecin évalue l’état de santé général du patient, ses antécédents personnels et familiaux (en particulier de cancer de la prostate), l’existence de symptômes pouvant évoquer une anomalie de la prostate (troubles urinaires et sexuels).
Deux examens permettent de suspecter un cancer de la prostate : le toucher rectal et le dosage sanguin des PSA, l’Antigène Prostatique Spécifique (PSA), substance produite par la prostate.
Si le médecin a relevé des anomalies en faveur d’un cancer de la prostate, il prescrit à son patient une biopsie de la prostate pour observer et évaluer le caractère cancéreux des cellules prélevées.
Le médecin évalue l’état de santé général du patient, ses antécédents personnels et familiaux (en particulier de cancer de la prostate), l’existence de symptômes pouvant évoquer une anomalie de la prostate (troubles urinaires et sexuels).
Deux examens permettent de suspecter un cancer de la prostate : le toucher rectal et le dosage sanguin des PSA, l’Antigène Prostatique Spécifique (PSA), substance produite par la prostate.
Si le médecin a relevé des anomalies en faveur d’un cancer de la prostate, il prescrit à son patient une biopsie de la prostate pour observer et évaluer le caractère cancéreux des cellules prélevées.
Comment prévenir le cancer de la prostate ?
Le cancer de la prostate étant plus fréquent avec l’avancée en âge, un suivi médical régulier permet au médecin de réaliser un dépistage par toucher rectal et/ou un dosage des PSA dans le sang s’il le juge nécessaire (antécédents familiaux, personnes d’origine africaine…)
Une alimentation équilibrée (sans excès de graisses saturées et animales, riche en fruits et légumes) couplée d’un activité physique régulière permet comme dans beaucoup d’autres cancers de réduire le risque d’apparition de la maladie.
Quelle prise en charge pour le cancer de la prostate ?
Le déroulement de la prise en charge du cancer de la prostate dépend du stade évolutif de la maladie. S’il ne souffre pas de symptôme, que le cancer est localisé et à faible risque évolutif, une surveillance régulière et répétée sera mise en place.
Elle consiste en une surveillance sanguine du taux de PSA (Antigène Prostatique Spécifique), d’un toucher rectal et de biopsies de contrôle pour juger de l’évolution du cancer.
Si au cours de cette surveillance le cancer de la prostate s’aggrave, un traitement est mis en route en concertation avec le patient. Une prostatectomie (retrait chirurgical de la prostate), une radiothérapie, une hormonothérapie ou une chimiothérapie pourront lui être proposées.
Conjointement à ces traitements, des soins de support peuvent être utiles dans le but d’améliorer la qualité de vie des patients et de leur entourage sur les plans physique, psychologique et social.
Ils aident à mieux vivre avec sa maladie et à gérer les effets indésirables potentiels des traitements.
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Témoignages patients
Adrien vous raconte son parcours avec un cancer de la prostate.
C’est suite à une visite médicale et une prise de sang, qu’Adrien se fait orienter vers un urologue. Avant cette prise de sang, aucun symptôme ne laissait penser à un cancer (à part, avec le recul, des envies d’uriner plus fréquentes venues progressivement).
L’annonce du diagnostic lui est tombée dessus malgré ses doutes : « Je crois qu’on s’en doute, avant. On redoute. » Après une biopsie, une IRM, son médecin pose les mots : c’est un cancer de la prostate.
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