Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)
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Qu’est-ce que le syndrome des ovaires polykystiques ?
Le SOPK (syndrome des ovaires polykystiques) est une maladie hormonale chronique qui touche environ 10% des femmes en âge de procréer.
Cette maladie est due à une production inhabituelle et excessive d’hormones mâles androgène (testostérone) chez la femme. Cette production trop élevée de testostérone est soit due à une surproduction au niveau des ovaires (notamment identifiable par présence de nombreux follicules dans les ovaires) soit par la présence d’un dérèglement des glandes hormonales situées dans le cerveau.
Quelques chiffres sur le SOPK :
- Plus de 10% des femmes en âge de procréer sont concernées
- Le SOPK est la première cause d'infertilité chez la femme
Quels sont les symptômes du syndrome des ovaires polykystiques ?
Le syndrome des ovaires polykystiques est la première cause d’infertilité chez la femme.
La surproduction de testostérone est responsable de plusieurs troubles chez les femmes concernées : des règles irrégulières, une pilosité exagérée, une chute de cheveux, de l’acné, un grand nombre de follicules sur les ovaires. La présence de minimum 2 de ces symptômes permet de penser au SOPK.
Les symptômes sont très variables et apparaissent majoritairement durant la puberté et suivent la femme durant le cours de sa vie. Les femmes atteintes de SOPK ont plus de risque de développer un diabète de type 2 et un taux de cholestérol élevé dans le sang.
Quelles sont les causes du SOPK ?
Les causes du syndrome des ovaires polykystiques restent cependant encore peu connues, mais sont principalement de l’ordre génétique, épigénétique (étude des changements dans l’activité des gènes) et environnementale.
L’origine génétique est prédominante dans le syndrome des ovaires polykystiques (des cas dans la famille exposent à un surrisque de 30% de SOPK). Les perturbateurs endocriniens de nos environnements sont suspectés d’être associés au développement du SOPK, sans aucune preuve avérée à ce jour.
Comment traiter le SOPK ?
Aujourd’hui, il n’existe pas de traitement pour guérir du syndrome des ovaires polykystiques. Seulement les symptômes seront traités : une contraception pour régler l’acné, l’hirsutisme et les troubles liés aux cycles.
Un traitement hormonal peut être prescrit pour lutter contre l’infertilité.
Comment diagnostiquer le SOPK ?
Le diagnostic du syndrome des ovaires polykystiques se déroule en plusieurs étapes. Votre médecin devra vous prescrire un bilan sanguin (bilan hormonal et bilan métabolique sanguin) ainsi qu’une échographie pelvienne. Les critères permettant de poser le diagnostic du SOPK sont : une hyperandrogénie (hirsutisme, acné, etc), une ovulation rare ou absente et une augmentation du volume des ovaires.
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Témoignages patients
Ophélie, co-fondatrice de l’asso’SOPK, nous parle de son expérience avec le SOPK.
Le SOPK touche 1 femme sur 7 et est la première cause d’infertilité féminine dans le monde. Pourtant, de nombreuses personnes traversent une longue période d’errance de diagnostic, comme Ophélie.
Son conseil ? S’écouter et ne pas rester seule ni dans l’ombre face à cette pathologie !
Associations partenaires
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